Last signals from Titanic were heard by Virginian at 12:25 A.M. E. S. T. He reported them blurred and ending abruptly.
Then we worked out the positions. In the first place, I received before leaving the house a reply from Montreal, saying that the Allan Line unfortunately confirmed the record. We worked out the positions then to the best of our ability, and the Titanic we found 1,080 miles from New York, about 600 miles from Halifax; the Olympic we found, in our opinion, to be about 364 miles from the Titanic, and the Baltic we thought could reach her at 4 P.M. I do not know how far the Baltic was away.
SENATOR SMITH: How did you find the location of these various ships?
MR. FRANKLIN: We worked out the Olympic roughly in our own minds.
SENATOR SMITH: On a scale?
MR. FRANKLIN: We had the chart.
SENATOR SMITH: And from the chart you worked them out? But did any of these ships report their exact location?
MR. FRANKLIN: We had no communication at that time from any ship or anybody which in our opinion was authentic. We had numerous rumors from all sources.
SENATOR SMITH: Did they pretend to give you their location?
MR. FRANKLIN: They did not. I will read you the first message sent to the Olympic, the one I referred to a few minutes ago. This was sent at 3 A.M.:
Make every effort to communicate Titanic and advise position and time. Reply to Ismay, New York [meaning company offices].
SENATOR SMITH: Please say to whom that was addressed.
MR. FRANKLIN: To Haddock [C,apt. Herbert Haddock], Olympic.
SENATOR SMITH: Please give the date.
MR. FRANKLIN: April 15, 3 A.M.
SENATOR SMITH: And give the hour in each case. Now, in order that we may be sure the committee understands that, please read that again.
MR. FRANKLIN: This was our first endeavor to communicate with any of our steamers, and the first attempt that we know, either one way or the other.
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Les derniers signaux du Titanic ont été entendus par le Virginian à 12:25 A.M. E. S. T. Il les a rapportés flous en se terminant brusquement.
Puis nous avons étudié les positions. En premier lieu, j’ai reçu avant de quitter la Chambre une réponse de Montréal, disant que la Allan Line a malheureusement confirmé le compte rendu. Nous avons établi les positions au mieux de nos capacités, et nous avons trouvé le Titanic à 1 080 miles de New York, à environ 600 miles de Halifax; l’Olympic, à notre avis, étaient à environ 364 miles du Titanic, et le Baltic que nous pensions pouvoir atteindre à 4 P.M. Je ne sais pas à quelle distance se trouvait le Baltic.
LE SÉNATEUR SMITH : Comment avez-vous trouvé l’emplacement de ces divers navires?
M. FRANKLIN : Nous avons calculé l’Olympic par nous-même.
LE SÉNATEUR SMITH : Sur une échelle?
M. FRANKLIN : Nous avions la carte.
LE SÉNATEUR SMITH : Et à partir de la carte, vous les avez établis? Mais est-ce que l’un de ces navires a signalé sa position exacte ?
M. FRANKLIN : À ce moment-là, nous n’avons reçu aucune communication d’un navire ou d’une personne qui, à notre avis, était authentique. Nous avons entendu de nombreuses rumeurs provenant de toutes les sources.
LE SÉNATEUR SMITH : Ont-ils prétendu vous donner leur emplacement?
M. FRANKLIN : Non. Je vais vous lire le premier message envoyé à l’Olympic, celui dont j’ai parlé il y a quelques minutes. Ceci a été envoyé à 3 A.M. :
Faites tous les efforts pour communiquer avec le Titanic et de communiquer la position et l’heure. Répondre à Ismay, New York [signifiant les bureaux de l’entreprise].
LE SÉNATEUR SMITH : Veuillez dire à qui cela s’adresse.
M. FRANKLIN : À Haddock [Capt. Herbert Haddock], Olympic.
LE SÉNATEUR SMITH : Veuillez donner la date.
M. FRANKLIN : Le 15 avril, 3 A.M.
LE SÉNATEUR SMITH : Et donnez l’heure dans chaque cas. Maintenant, pour que nous puissions être sûrs que le comité comprenne cela, veuillez le relire.
M. FRANKLIN : C’était notre première tentative de communiquer avec l’un de nos navires à vapeur, et la première tentative que nous connaissions d’une façon ou d’une autre.
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